- Le cabinet intervient pour sécuriser les autorisations d’exploitation commerciale.
Si le projet de création ou d’extension d’un commerce nécessite un permis de construire, le permis de construire est délivré après avis favorable de la commission départementale d’aménagement commercial.
Si le projet ne nécessite pas de permis de construire, il convient de saisir directement la CDAC, compétente pour délivrer l’autorisation d’exploitation commerciale.
La Commission nationale d'aménagement commercial (CNAC) est l'instance de recours des décisions et avis des commissions départementales d'aménagement commercial (CDAC). Sa saisine constitue un recours administratif préalable obligatoire à toute procédure contentieuse.
En dernier recours, le Conseil d’Etat est compétent pour contester les décisions rendues par la CNAC.
Exemples de projets soumis à une autorisation d’exploitation commerciale
- La création d'un magasin de commerce de détail d'une surface de vente supérieure à 1 000 m² (construction nouvelle ou transformation d'un immeuble existant)
- L'extension de la surface de vente d'un magasin de commerce de détail ayant déjà atteint le seuil des 1 000 m² ou devant le dépasser par la réalisation du projet
- Tout changement de secteur d'activité d'un commerce d'une surface de vente supérieure à 2 000 m² - ou 1 000 m² lorsque l'activité nouvelle du magasin est à prédominance alimentaire
- La création d'un ensemble commercial dont la surface de vente totale est supérieure à 1 000 m²
- L'extension de la surface de vente d'un ensemble commercial ayant déjà atteint le seuil des 1 000 m² ou devant le dépasser par la réalisation du projet
- La réouverture au public, sur le même emplacement, d'un magasin de commerce de détail d'une surface de vente supérieure à 1 000 m² dont les locaux ont cessé d'être exploités pendant trois ans
- La création ou l’extension d’un « drive »
- Maître ROUSSEAU assiste également ses clients en matière de droit de préemption commerciale des communes.
Toute cession de fonds artisanaux, de fonds de commerce ou de baux commerciaux intervenant dans le périmètre de sauvegarde du commerce de proximité délimité par délibération du conseil municipal, peut faire l'objet d'un droit de préemption de la commune ou d'un établissement public de coopération intercommunale (EPCI). Ce droit de préemption commercial permet à la commune ou à l’EPCI de procéder à l’achat en priorité pour le rétrocéder à un commerçant ou un artisan.
- Maître ROUSSEAU a également développé une expertise en matière de règlementation de la publicité extérieure.
Le cabinet assiste les entreprises et commerçants souhaitant installer des dispositifs publicitaires extérieurs, des enseignes ou des pré-enseignes.
Maître ROUSSEAU les conseille sur les démarches à effectuer auprès de l’administration (déclaration préalable le cas échéant) et les assistent pour toutes question relatives à la règlementation (règlement local de publicité) et à aux taxes liées à la publicité extérieure.